Manille, labyrinthe.
8.0 Je me suis pris une claque. le genre de claque innatendue. Car même si l’an dernier j’avais beaucoup aimé Serbis, il m’avait aussi pas mal désarçoné, surtout l’abus de caméra épaule. Là j’adhère entièrement. Une journée dans un bidonville de Manille où une famille d’acceuil va être contrainte de rendre l’enfant qu’ils gardent (qu’ils ont adoptés provisoirement) depuis trois ans à une riche famille américaine. Mendoza filme les quartiers comme personne. Il filme un quotidien comme personne. sa fin est magnifique. Bref, Serbis et John John montrent que Brillante Mendoza est sur la voie pour devenir un très grand cinéaste, cru et atypique.
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