Intimité.
4.0 Le cinéaste dit de ce film, son second court métrage, qu’il est un trait d’union entre Le dernier mouvement de l’été et Voilà. Comme le premier c’est vrai, il est filmé avec cette petite caméra 8mm. Comme le second, il se déroule à Oléron et certains plans en sont très proches. Pour moi il reste un film à part, une expérimenation de cinéma, principalement du son, je vois surtout un homme qui se cherche, qui s’ouvre des brèches pour la suite. En soit, ce court métrage est loin d’être mauvais, il y a un intérêt là comme autre c’est évident. Mais la recherche formelle primant sur le besoin de filmer un moment de vie, une petite histoire, je ne vois pas Vertiges comme un film à distribuer, mais comme un film à garder pour soi.
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