Publié 7 octobre 2014
dans Real Humans et Séries

3.5 Les cinq/six premiers épisodes sont excellents, j’attendais avec impatience le jeudi de diffusion Arte pour me replonger dans cette histoire de Hubots. Et puis la fin de première saison bifurque complètement, sombre dans la surenchère, ressemblant à une banale série américaine sans grandes idées, même si ça se suivait toujours agréablement. Pour le coup, la saison à venir ne me faisait pas vraiment fantasmer.
Je regarde alors la suivante par curiosité. Avant le dernier épisode je trouvais ça quasi catastrophique ni plus ni moins. La fin de la saison 1 augurait déjà du pire et ça s’est vérifié. Il n’y a plus de mystère, de grandes idées, tout se succède de façon hyper attendu et programmatique. La fin relève un peu le niveau, enfin sauf les dernières secondes ridicules. Je m’arrête là, définitivement.
Publié 7 octobre 2014
dans Bref et Séries

Court sur pattes.
4.0 J’avais vu quelques épisodes à l’époque de leur sortie sur Canal mais pas tout, enfin surtout éparpillés. C’est inégal dans l’ensemble mais certains épisodes sont excellents. Enfin disons que l’on passe du très bon (« J’ai rencontré cette fille ») à très très mauvais (le tout dernier). Après ça se regarde vite donc même si on a deux mauvais de suite ce n’est pas si gênant tant qu’on nous en offre des bons pour souffler – bien grand mot ici. C’est surtout la forme qui donne son cachet à cette pastille, quelque part entre Fincher et Ellis, après sur 40 épisodes il était presque évident qu’il y aurait du déchet. Certains sont donc très drôles (celui de la photo, je suis fan) pour d’autres on sent vraiment le remplissage pour audiences canal…
Concernant la saison 2, rien de plus à ajouter par rapport à ce que je pensais de la saison de lancement. C’est le même parcimonieux plaisir, les mêmes grosses réserves. C’est aussi une saison plus paresseuse, qui invente moins de situation qu’elle ne joue sur la répétition (Une circonstance est par exemple étirée sur quatre épisodes). Il y a des trucs abominables, avec des vannes éculées pour ados boutonneux et d’autres petites choses un peu plus subtiles. Mais bon, honnêtement, ça reste une pastille tout ce qu’il y a de plus dispensable.
Publié 7 octobre 2014
dans Braquo, Olivier Marchal et Séries

Truands.
1.0 La troisième saison se fera sans moi. J’ai trouvé ça nul. Je n’étais déjà pas très attaché à la première mais celle-ci fait encore plus fort. Les personnages sont tous exécrables. On dirait presque une parodie des films de Marchal, pas facile à faire j’en conviens. Nombreux dialogues m’ont fait éclaté de rire tant ils sont ridiculement sur-écrit et mal joués. Et cette image… Rien à sauver. Heureusement que je matais la sublime quatrième saison d’Engrenages en parallèle car c’est à te dégouter des séries policières françaises.