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Une journée en enfer (Die hard with a vengeance) – John McTiernan – 1995

39.-une-journee-en-enfer-die-hard-with-a-vengeance-john-mctiernan-1995-1024x768Waltz of the bankers.

   10.0   Je suis retombé dessus par hasard, je pensais regarder une scène, puis cinq minutes mais j’ai finalement tout maté alors que je l’avais revu il y a seulement quelques mois. Et dire qu’il a bercé toute mon adolescence. Vu et revu jusqu’à épuisement, sans jamais que ça m’épuise. Pas même encore aujourd’hui. Je pense pouvoir dire qu’il fait partie de ces films dont je connais chaque réplique (En Vf cela va de soi) et situation par cœur. Des premières notes de The Lovin’ Spoonful (Summer in the city) au Johnny’s coming home de Michael Kamen. Du McClane, migraineux, que l’on sort du lit et qui va arborer un écriteau suicidaire dans les rues de Harlem à celui, toujours migraineux, qui liquide son second Grüber après avoir traversé explosions et attentats en tout genre. Sans parler de l’inénarrable « Simon says » (« Jacques a dit » chez nous). Et sans s’étendre non plus sur l’un des plus beaux duos improbables que le cinéma d’action nous aura offert : Willis / Jackson. Un vrai régal. Le cinéma d’action à son apogée. Sobre, lisible, hilarant, d’un bout à l’autre. Deux heures de pure jubilation. Admettons, peut-être, que la première partie soit un poil meilleure que la seconde, en terme d’idées, de rythme, de répliques, de bifurcation, en gros lorsque Irons est hors champ. Mais la suite est tellement au-dessus du lot, franchement, que je n’arrive même plus à être objectif. Le meilleur Die Hard, haut la main. Juste devant le premier. Enfin disons qu’ils se valent, globalement, c’est juste que l’un trépide quand l’autre est plus down tempo, l’un est en huis clos vertical quand l’autre est à ciel ouvert horizontal, c’est d’ailleurs fou le nombre de plans où apparaissent les Twin towers. En fait je préfère celui-ci pour sa cartographie new yorkaise. Et j’adore l’avancée sous forme de prétexte, les fausses pistes, et le montage lors de la découverte de la supercherie est à tomber par terre. Le montage de manière générale est un agencement d’orfèvre dans ce troisième volet. Et puis j’adore les méchants, comme dans le premier Die Hard d’ailleurs et pour paraphraser Hitchcock : « Un film est réussi quand le méchant est réussi » Et puis les seconds rôles ne sont pas en reste, ils sont tous exceptionnel. Chef d’œuvre du genre. Définitivement.

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