Publié 5 novembre 2015
dans Olivier Marchal
Sobriété relative.
3.0 La recette Marchal est toujours la même, zéro surprise, on voit tout venir et les dialogues sont toujours aussi gracieux et le climat est d’une noirceur à faire flipper la nuit. Néanmoins c’est moins pire que d’habitude, sans doute parce qu’on en reste au stade du téléfilm et que du coup il se lâche moins dans ses effets. Le film est en effet très sobre à ce niveau-là. Bon, ça reste hyper ampoulé hein, avec des grimaces pas possibles, des gueules fendus en veux-tu en-voilà, des êtres torturés, des flics damnés, bref, RAS.
Publié 5 novembre 2015
dans Jean-Luc Perreard
3.5 Je m’attendais à un truc absolument imbuvable. En fait ça va. Parce que le film est continuellement en mouvement. Alors on n’est pas non plus dans Eyjafjallajökull, qui était un post De Broca idéal, mais ça se regarde bien. Testot est supportable. Fait encore plus rare, Bekhti aussi. Bon voilà, c’est archi prévisible mais c’est pas l’horreur quoi. Même si je le conseillerais pas non plus, c’est peut-être le meilleur produit populo chic à la Hors de prix, se déroulant en Corse ces dernières années – Pas difficile à faire cela dit.