Sobriété relative.
3.0 La recette Marchal est toujours la même, zéro surprise, on voit tout venir et les dialogues sont toujours aussi gracieux et le climat est d’une noirceur à faire flipper la nuit. Néanmoins c’est moins pire que d’habitude, sans doute parce qu’on en reste au stade du téléfilm et que du coup il se lâche moins dans ses effets. Le film est en effet très sobre à ce niveau-là. Bon, ça reste hyper ampoulé hein, avec des grimaces pas possibles, des gueules fendus en veux-tu en-voilà, des êtres torturés, des flics damnés, bref, RAS.
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