À quatre on y va.
6.0 Après la déception ou n’ayons pas peur des mots, l’infiniment mauvais Une autre vie, je craignais que le cinéma raffiné et inventif de Mouret se soit définitivement empâté mais non, Caprice, s’il n’atteint certes pas le charme éloquent d’Un baiser s’il vous plait, renoue avec ses plus belles réussites. La merveilleuse Anaïs Demoustier (déjà non moins superbe dans le dernier Bonnell) remplace Frédérique Bel avec classe et malice. L’écriture de Mouret est fine, généreuse, élégante, pleine d’humour. Bref ça fait plaisir et ça prouve que Mouret n’a rien perdu de sa superbe.
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