Losing control.
5.5 Rien d’incontournable mais un bon produit Tom Cruise comme toujours, qui remplit aisément le cahier des charges, avec les thématiques habituelles et donc rebattues de la pelletée de films de science fiction qu’on retrouve sur les écrans chaque année. Celui-ci dans le haut du panier, banal mais épuré, mais il faut un peu s’accrocher au début. Et on tient le choc quand Tom Cruise, personnage chargé de réparer les sentinelles à l’infini, foule des recoins de Terre dévastée (Très belle scène dans le stade de football, voir mon photogramme) assez flippantes et mélancoliques. La musique de M83 qui accompagne tout le film est assez chouette, envoûtante, elle crée une ambiance adéquate. J’avoue m’être un peu ennuyé jusqu’à son basculement (à la moitié du film) parce que j’y décelais trop les rouages ; Mais d’un coup ça s’emballe. Olga Kurylenko avait débarqué un peu plus tôt. Puis d’autres personnages, comme Nikolaj Coster-Waldau (aka Jaime Lannister) font plaisir à voir. La deuxième partie se débarrasse de l’imagerie un peu attendue et surtout révèle un divertissement de qualité, si on ne demande rien. Et puis au final, c’est une histoire d’amour qui guide le récit et donne un peu de chaleur à un récit programmatique et froid ambiance Post Apocalypse et Clonage.
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