Pauvres riches.
0.5 Une bonne grosse daube dont seul Eric Lavaine a le secret, quelque part entre son horrible Barbecue et Le prénom d’Alexandre de La Patellière et Matthieu Delaporte – Dire qu’ils se sont mis à deux pour faire ce machin. Un énième immondice UMP-like pour riches qui ont peur d’être pauvres, mais ne le seront jamais, avec un final Tout est bien qui finit bien à te faire vomir tes cinquante derniers repas. Niveau mise en scène c’est le néant : Dehors c’est Plus belle la vie, dedans c’est Scènes de ménage. Surtout le film est d’une platitude hallucinante, pauvre en tout, osant même se reposer sur un gag, un seul en espérant que ça suffira : Le plat picard / Surgelés Picard. Véridique. Tout le reste tient du règlement de compte familial dans la tradition (plutôt la caricature) du genre. Et puis bon, Lamy, Seignier, Balasko quoi : Belle indigestion de calamars, même au barbecue.