Répulsion.
4.0 Les films de Boyle sont souvent indigestes. Et paradoxalement ils parviennent constamment à me happer dans leur monde, aussi épileptique et lourd soit-il. Trance constitue presque un méta film sur la méthode Boyle tant son sujet est aussi celui de sa façon de faire : L’hypnose comme remède. Nul besoin ici de plage paradisiaque, faille rocheuse dans le désert, plateau télévisé ou Londres dévasté, la mémoire est l’unique terrain de jeu.
Celle d’un commissaire-priseur qui va organiser le vol du tableau de Goya, Le vol des sorcières, mais qui suite à un choc, est incapable de se souvenir comment il a subtilisé la toile pour le compte d’un caïd plus gros que lui. Le film se perd peu à peu dans les méandres d’un gigantesque faux-semblant, puzzle confus avec ses rebondissements en rafale, véritable port-nawak laid et clipesque, dans la lignée esthétique de Slumdog millionnaire et 127 heures.
Pourtant, l’idée de base suffit comme souvent à ne pas me faire détester cette nouvelle bouillabaisse psychédélique dont Boyle a le secret, qui fait ici un peu office d’Inception du cancre. Et on y voit un full frontal de Rosario Dawson ce qui n’est pas négligeable.
An fascinating dialogue is value comment. I believe that it is best to write more on this matter, it might not be a taboo topic but generally individuals are not sufficient to talk on such topics. To the next. Cheers keeeekdkcdde