Le néant.
1.0 On est un cran au-dessus (dans la nullité) de Valley of love. Ou alors il faut être aveuglément amoureux de Gégé, surtout quand il répète et hurle « Yoshi », « merde », « putain », « putain de merde », « mon fusil ». Ça pourrait être intéressant en tant que film théorique sur Gérard Depardieu lui-même mais qu’est-ce que c’est chiant. Le prétexte Depardieu, son corps et son aura, est devenu un standard pour camoufler un manque d’idée et de mise en scène. J’avais aimé le film d’Abel Ferrara qui me semblait être le point d’orgue de ce genre de dispositif. Valley of love et son côté Loulou 30 ans plus tard c’était déjà le vide total. The End enfonce le (Ni)clou(x).