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Archives pour 14 novembre, 2017

Baywatch – Seth Gordon – 2017

28. Baywatch - Seth Gordon - 2017Hey, how's your dick?

   4.0   J’ai traversé une période chelou (Quel âge j’avais ? 11, 12 ans, je sais pas) où je ne loupais pas un épisode d’Alerte à Malibu. Tu vois Joey, dans Friends ? Bah pareil. « It’s time for… Baywatch ! ». ça a dû duré un été ou une chaine rediffusait les saisons 3 et 4 : ça j’en suis certain, car j’étais dingue de Summer aka Nicole Eggert. Bref, c’était pas suffisant pour aller voir ce machin au cinéma mais je t’avoue qu’avec ce casting, j’espérais le gros délire bien gras. J’étais donc très curieux.

     Dommage de ne pas avoir profité du changement de medium pour faire disparaître ce qui était déjà nullissime dans la série : L’intrigue parallèle renouvelée d’un épisode à l’autre. Quitte à faire renaître Alerte à Malibu sur deux heures, autant centrer ces deux heures sur le quotidien des sauveteurs et jouer sur le comique de situation, le groupe, les personnages, comme on le ferait dans un film de campus, de flics, de médecins. Montrer le quotidien dans la multitude d’interventions et non au travers de cette affaire de trafic de drogue sans intérêt.

     21 jump street avait nettement mieux saisi l’idée et fonctionnait quand celui-ci se plante quasi en permanence car il est avant tout beaucoup moins drôle, beaucoup moins généreux et beaucoup trop centré sur l’hommage de bas étage : faire qu’on retrouve les mêmes personnages, les ralentis sur les nichons, la bouée rouge. Et faire le clin d’œil, avec les apparitions de David Hasselhoff et Pamela Anderson, mais gratuitement dans la mesure où ils ne servent strictement à rien, pas même à créer un gag correct.

     Quelques situations surnagent, malgré tout : Il y a le background sur Matt (Zac Efron prend la place de David Charvet) dont on apprend qu’il était un grand nageur olympique mais qu’il a vomi dans la piscine un jour de relais 4x100m d’où sa reconversion. Plus tard, une bite en érection se coince dans un transat ; on a droit à une scène de morgue particulièrement cocasse, avec là encore, une bite récalcitrante. On joue beaucoup avec la puissance d’évocation de la poitrine d’Alexandra Daddario (qui reprend donc le rôle de Summer, fonctionne bien ce prénom) ; On s’amuse d’une ambiance crypto gay mais pas trop. Mais ça manque clairement de folie, dans l’ensemble.

Je sais rien, mais je dirai tout – Pierre Richard – 1973

10. Je sais rien, mais je dirai tout - Pierre Richard - 1973      2.0   J’aime bien Pierre Richard mais je connais mal ses réalisations je me rends compte. Je ne vais pas m’étendre sur ce film, qui m’a semblé très prometteur sur les cinq premières minutes, nullissime sur les suivantes. On va simplement dire que ce n’est pas pour moi, c’est tellement hystérique que j’en pouvais plus au bout d’un quart d’heure. Il y a tout de même quelques gags qui m’ont fat sourire, à l’image de celui à l’anpe.


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