Dernier à tout.
2.5 Pour avoir pondu cette merveille qu’est Le trou, Jacques Becker fait partie de ces cinéastes dont je voudrais absolument tout voir, même ses films jugés plus dispensables. C’est Tavernier qui a aiguisé ma curiosité dans son film Voyage à travers le cinéma français, puisqu’il évoque Dernier atout comme ayant été un déclencheur de sa cinéphilie. Tout en lui admettant aujourd’hui les faiblesses. J’ai trouvé ça plein d’humilité d’en parler ainsi, avec cette nuance, cette nostalgie, cette lucidité. En effet, il fallait sans doute le voir comme il l’a vu lui. Car difficile de faire plus chiant. Le film venait à peine de finir que j’avais déjà tout oublié.