Faux départ.
3.0 J’ai beaucoup de sympathie pour Fabrice Eboue. Autant que pour son compère Thomas N’Gijol, en somme. Case départ, je suis persuadé que ça me ferait autant rire si je le revoyais. Je le reverrais bien, tiens, d’ailleurs. Malheureusement, à la réalisation en solo et comme pour son pote avec son raté Fastlife, Eboue manque son Coexister, sans doute car le film est trop sage, trop barricadé derrière son message de tolérance. C’est pas Qu’est-ce qu’on a fait au bon dieu – Y a quand même des supers gags et des impertinences réjouissantes, surtout au début – mais on n’en est pas loin.
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