« Faut que le héros il soit costaud et protège une fille, contre des méchants. Voilà »
2.0 Tenté ça car je sentais le bon gros divertissement bourrin du dimanche soir. J’étais disposé. J’avais prévu de bosser ce soir-là mais j’avais pas envie. Eh bien au bout d’un quart d’heure je bossais quand même. Car bourrin ça l’est, mais on est loin, très loin du bon divertissement. C’est même une catastrophe, dotée d’une réalisation atroce, écrite n’importe comment. Rien que le résumé qu’en fait Wikipedia donne un rire nerveux : « L’agent secret Ethan Renner s’engage dans une dernière mission pour obtenir l’antidote expérimental au mal dont il souffre. Il devra lutter contre les effets hallucinatoires et narcoleptiques de ce traitement. » Mais bon, sur « une idée de Luc Besson » réalisée par McG – dont les chouettes Charlie’s Angels sont enterrés puisqu’il a depuis, entre autre, tâcheronné Terminator – fallait pas s’attendre à mieux qu’à ce truc à chier, j’imagine. Rien à signaler sinon que Kevin Costner passe ramasser un peu de fric chez EuropaCorp histoire de rembourser sa dix-huitième voiture de collection, et 3 days to kill rappelle encore que Mozinor avait vu juste concernant Besson avec son brillant générateur de scénario. Audi est remplacé par Peugeot cette fois. La pute par la fille du héros. Et le méchant est un terroriste allemand. Et y a encore des scènes à Paris. En fait c’est presque une version sombre de Taxi, quoi.