De la confiture aux cochons.
4.0 Du Renny Harlin pur jus. La finesse d’un éléphant, à l’image du nombre d’allusions cul se trouvant dans chaque scène. Un film d’aventures sans grande imagination mais avec du rythme, des vannes et des explosions dans tous les sens, qui font que ça se regarde poliment un dimanche soir. Le film est surtout connu pour être l’un des plus grands fours de tous les temps, n’ayant pas engrangé dix pour cent de ce qu’il a couté ce qui fit couler Carolco Pictures, sa société de production, qui avait entre autre produit Rambo, T2, Basic instinct, Last Action Hero, tout de même. L’ile aux pirates puis Au revoir à jamais seront surtout l’occasion pour Renny de filmer sa gonzesse sous toutes les coutures (et sous tous ses fantasmes : pirate convoitant un trésor familial, institutrice découvrant qu’elle était tueuse à gage dans une vie antérieure) dans les situations les plus abracadabrantes. J’aime bien Geena Davis, mais bon.