The green endive.
3.0 Revu et c’est toujours Non, pour moi. Le plus flagrant c’est qu’on a sans cesse l’impression que rien ne fonctionne car c’est tout ce qu’il ne faut pas faire. Jusqu’au jeu des acteurs, évidemment, et là comment ne pas évoquer le cas Eric Bana, l’endive, la vraie. Alors ok, on pourrait se satisfaire d’un film de ce genre avec un réalisateur du standing d’Ang Lee aux commandes, mais il ne trouve jamais le bon équilibre, il est à l’image de Nick Nolte dans le film, il en fait trop et aussi bien pour divertir la masse (les effets spéciaux sont pas géniaux, je trouve) que pour clamer haut et fort une envie de faire autre chose, de faire de la qualité. Certes, le genre est moribond, mais quand on voit les Spiderman, de Raimi – les deux premiers sont d’ailleurs sorti un an avant et un an après Hulk – on se dit que l’écart est trop important.