Caprice.
3.0 Un peu trop l’impression d’être pris en otage par un récit lourd, écoeurant, exhibitionniste, plaintif, un peu à l’image de cette famille dysfonctionnelle qu’il dépeint. Et c’est pourtant ce que le film réussit de mieux, son portrait de famille, ses scènes de groupe – avec Louis Garrel qui apporte au centre une petite touche d’humour, quoique très fabriquée, assez rafraîchissante. Le reste soit ce qui tourne autour de la quête identitaire de Maiwenn, l’obsession des racines, la recherche d’ADN, tout ça pèse dix tonnes, c’est affreux.