White light, white heat.
7.5 Le film rêvé : Des trains, de la neige, des trains fendant la neige, des paysages blancs, des mécanismes, de la vitesse, le confort des passagers face au labeur des cheminots. Et un montage frénétique, empruntant bien plus à Vertov et L’homme a la caméra qu’aux Lumières et L’arrivée d’un train en gare de la Ciotat. Une rafale d’images prises sur les chemins de fer anglais durant l’hiver, calées sur le Teen beat de Sandy Nelson, par Johnny Hawksworth, réarrangé à deux fois sa durée dans un tempo hyper rapide. Ça dure huit minutes et c’est fabuleux.
0 commentaire à “Snow – Geoffrey Jones – 1963”