Laid time.
0.5 Le récit se déroule en 2045. Les robots font plus que jamais partie du quotidien. Une poignée d’humains va se retrouver coincé dans une baraque à la merci d’une intelligence artificielle, incarnée par divers androïdes, attachants ou récalcitrants. J’ai entendu que Jeunet s’était inspiré de Blade runner, 2001, AI, Jacques Tati. Moi aussi je m’inspire de Top chef quand je veux essayer des plats mais c’est pas bon pour autant. Jeunet c’est pareil. De vous à moi j’ai rarement vu un truc aussi laid, rance, vulgaire, ringard, consternant. Des sommets de gênance pure, des personnages tous antipathiques, humains autant qu’androïdes, un décor unique d’un mauvais goût qui rappelle sa pub pour edf qui a vingt ans. Je pensais pas si vite voir pire que Lelouch cette année et pourtant.
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