Fart lighting.
2.0 Je n’ai lu ni le roman de Stephen King (qui paraît-il est top) ni la première adaptation de Mark Lester (qui paraît-il n’est pas top) avec une toute jeune Drew Barrymore tout juste post E.T. Mais cette nouvelle adaptation ne vaut rien, quoiqu’il en soit. Tout y est un peu nul, plat, écrit et filmé n’importe comment, aussi réchauffé que sa musique signée pourtant Carpenter, et à peu près aussi passionnant et incarné que Zac Efron qui a rarement été autant à côté de la plaque, c’est dire le niveau de cette énième production Blumhouse absconce. L’encéphalogramme plat.