À cor perdu.
5.0 Les séquences de combats – à grands coups de canonnades – navals et d’agonie après la bataille sont superbes. Les scènes préparatives nettement moins, durant lesquelles le film est beaucoup trop bavard, malheureusement. La romance est peu captivante, aussi. Reste un bon film d’aventures, dominé par la présence d’un Grégory Peck très à l’aise dans la peau du capitaine Hornblower. Un petit Raoul Walsh, très inégal, à mon humble avis, qui m’a plutôt donné envie de revoir Master and Commander, de Peter Weir.