Privée de désert.
4.0 Tout le monde semble s’accorder à dire que le deuxième film d’Olivia Wilde serait un remake inavoué de The Stepford wives (1975) déjà adapté d’un roman. Il faudrait que je voie ce film de Bryan Forbes, tiens. Moi j’y ai vu des emprunts partout, à The Truman show, Matrix & Desperate housewives. Et d’autres trucs aussi qui ne me reviennent pas là. Mais en gros j’ai passé deux heures à me dire que c’était du déjà vu en mieux ailleurs. Alors l’image est intéressante, c’est vrai, c’est un beau film de chef opérateur : Matthew Libatique, celui de Black swan, Inside man ou A star is born. Le reste m’a semblé complètement programmatique et inégal, à l’image de son interprétation, relativement insipide à l’exception de Florence Pugh (déjà géniale dans Midsommar) qui donne beaucoup (trop, pour pas grand-chose). Encore un thriller concept, désincarné, qui m’a rappelé (en moins pire, toutefois) le Spiderhead, de Joseph Kosinski, sorti cette année aussi. Désolé d’avoir citer tant de films sans avoir parlé de celui-là, mais ça prouve combien ça m’a passionné.
0 commentaire à “Don’t worry darling – Olivia Wilde – 2022”