Take me away.
5.0 Dans la lignée de Love is a racket et sorti la même année, un Wellman pré Code Hayes attachant (grâce en priorité à Barbara Stanwyck) mais rendu relativement dispensable par son petit côté théâtral (gageure lors de la naissance du parlant) et ses saynètes mal agencées. On sent que Wellman tente, varie les genres (oscille entre comédie et drame) les lieux (De Broadway jusque dans le Dakota du nord), mais ne parvient à relier le tout dans un ensemble cohérent. Dans la même période on lui préfère nettement L’ennemi public ou Central airport.