Sans armes, ni haine, ni violence.
6.0 Bien qu’on y voie un peu l’avant (les préparatifs du casse de la Société Générale de Nice) et l’après (l’arrestation et l’évasion de Spaggiari) le film se concentre principalement sur « le casse du siècle » en s’intéressant au creusement du tunnel puis au week-end de l’assaut aux coffres. José Giovanni y filme la merde des égouts au plus près, l’excitation et la fatigue de l’équipe est palpable. En terme de mise en scène ce n’est ni Le cercle rouge, de Melville ni Le trou, de Becker, mais on sent que Giovanni s’en inspire et fait le boulot. Chouette film.