Terre, glaise, crachin.
2.0 Abscons dans son récit, maniaque sans ses plans, désincarné partout, plus chic que choc, indigeste, comme toujours avec Park Chan Wook. Film de vampire ou pas, adaptation de Zola (ici Thérèse Raquin, donc) ou pas, je déteste son cinéma.
Il est énorme, Thirst.
Il a très bonne réputation, oui, dans la presse, autour de moi. Partout. Je reste à quai, complètement. Tant pis pour moi.