L’incorrigible.
3.0 L’inspecteur Clément est mortellement blessé lors d’une arrestation. Son épouse lui promet que leur fils Michel sera policier. Trente ans plus tard, Michel est promu inspecteur-stagiaire grâce à l’indulgence du jury. Dès son premier jour, Michel est passé à tabac par ses collègues qui l’ont confondu avec le complice de Morzini, l’ennemi public n°1, l’homme qu’il rêve d’arrêter. Ce dernier, méconnaissable suite à une opération de chirurgie esthétique, se lie d’amitié avec Michel.
Plus je revoie des Claude Zidi plus je trouve ça consternant et irregardable. Celui-là est gratiné aussi. J’aurais toujours cet attachement de gamin, de voir Coluche et notamment sur sa statue (« Ah non, ça va ») ou avec sa poupée gonflable, mais dans l’ensemble ça m’a bien gonflé (pardon). Le rythme est décousu, les gags archi poussifs, Depardieu est (déjà) en roue libre. Je l’ai revu en me disant que dans la foulée je le montrerai à mon fils : No way, j’en trouverai d’autres. Je retiendrai néanmoins qu’une partie du film est tourné près de chez moi, à Bréançon et Grisy-les-Plâtres.