Cœur infidèle.
3.0 Hormis si on adore Noël, les (télé)films de Noël, les rom’com, George Michael (le film use de nombreux de ses morceaux et le récit revisite littéralement les paroles de de sa chanson éponyme), Emilia Clarke (en lutin) et les twists à la mords-moi-le-nœud, je vois pas trop ce qui peut amuser là-dedans. Moi je regardais ça uniquement parce qu’il y avait le créateur de Freaks & Geeks et réalisateur de Bridesmaids à la barre. Mais il ne reste malheureusement pas grand-chose de Paul Feig là-dedans, il y a surtout l’écriture d’Emma Thompson. Quelques vannes, un petit côté disons plus trashouille que la moyenne des films du genre, mais ça n’enlève pas ce discours moralisateur, ce rythme mollasson et cette bouillie de bons sentiments dégoulinants renforcés par une musique sirupeuse du plus bel effet.