Panique en cuisine.
7.0 Pile poil ce que j’attendais de Charley Bowers. De la destruction, du bricolage, une machine délirante et des supers inserts en stop motion.
Tandis qu’il veut au préalable demander la main de sa belle au père de celle-ci, gérant d’un restaurant, Bricolo se retrouve à devoir remplacer un employé à la plonge avant d’être pris dans un engrenage qui fera de lui à la fois le cuisto et le commis. Il fera tout péter, au sens propre.
Très amoureux, il acceptera alors de tout reconstruire. À sa façon d’inventeur : En automatisant tout. Le restaurant sera une gigantesque machine où il n’y aura plus besoin ni de commis, ni de cuisinier ni de plongeur.
C’est Les temps modernes à la Bowers. Une machine à gags complètement effrénée dans laquelle on verra des bras mécaniques s’occuper de faire pousser des carottes, appâter un poulet par une porte pour qu’il en ressorte par l’autre porte dans l’assiette, ou même une huître s’enduire elle-même de sauce avant de revenir dans sa coquille. Plaisir total.