Hounds of love.
6.0 Vu en salle dans la foulée de La zone d’intérêt, de Jonathan Glazer, une récréation autant dire. Des années que je n’avais pas découvert un Hitchcock en salle. Celui-ci se situe dans la veine de Correspondant 17, Une femme disparaît ou Les 39 marches, période britannique, d’avant-guerre. Pas ce qui me passionne le plus chez lui, à priori, mais ce mélange de faux coupable, cavale écossaise, quête de la vérité, screwball comedy et scène climax virtuose qui prépare déjà l’Hitchcock d’après, se regarde évidemment avec un plaisir non dissimulé.