Flammes à part.
3.0 Cinquième set, le précédent (et premier en solo) film de Quentin Reynaud (déjà avec Alex Lutz) m’avait semblé aussi complexe et passionnant que celui-ci est ennuyeux et superficiel. L’idée de mélanger le drame intimiste (un récit père/fils) et le film catastrophe était pourtant prometteur. Le film se voudrait anxiogène mais rien ne fonctionne. Beaucoup trop d’incohérences (de scénario, de situation, de rebondissements) pour ne pas décrocher. Et puis autant Lutz était génial dans Guy ou bien entendu Cinquième set autant il semble complètement dépassé ici. On voudrait sortir secoué de ce brasier, on est seulement consterné par ce huis clos à ciel ouvert mais dans les flammes. Le manque de moyen (évident) ne peut pas tout excuser.