Anthropomorflé.
1.0 Le film s’ouvre sur Kong se grattant le cul et se ferme sur un clin d’œil de Godzilla, c’est dire le niveau. On est donc en plein délire anthropomorphique et cette impression de voir des gamins faire une bataille pyrotechnique avec leurs deux plus gros jouets. Entre les deux, une bouillie visuelle imbitable. Les personnages sont nuls. Les combats entre les deux monstres sont laids. Les couleurs sont dégueulasses. C’est horrible.