Bateau solo.
5.5 Je suis mitigé dans la mesure où je trouve la construction burlesque totalement incroyable, comme rarement je l’avais encore vu chez Keaton, c’est dix idées de gags par plan, au bas mot. Le bémol c’est la vision qu’il a de l’indigène, tellement gênante (Que des sauvages cannibales !) surtout quand on prend par exemple celle qu’en a Murnau dans une merveille comme Tabou, sensiblement réalisée la même année.