Avant de partir.
5.5 Crainte de la revision, énième épisode. J’aime assez Les nuits fauves même si moins qu’à l’époque où il m’avait bien marqué et même si je trouve que c’est un film qui fut clairement surestimé. Collard veut tout mettre dedans (de son bouquin sans doute) du coup ça devient un truc un peu informe, mais dans le mauvais sens du terme, quelque chose qui ne respire absolument pas. Malgré tout, il y a une forme d’abandon à la pellicule que je trouve plutôt beau, sorte de testament d’un gars qui voulait par tous les moyens exprimer sa souffrance avant de partir et même si cela, fait dans l’urgence, semble hyper maladroit.