Publié 25 septembre 2017
dans Dave Mullins, Jules et Pixar
Le petit voleur.
5.5 En préambule à Cars 3, un tout nouveau court Pixar dont ils ont le secret. Une école maternelle : Après la récréation, l’invisible Lou range les vêtements, jouets, doudous oubliés par les écoliers. Un garçon est bientôt la proie de cette étrange créature faite de ces jouets égarés, elle lui choure son ours en peluche avant de lui faire comprendre qu’elle le lui rendra uniquement quand celui-ci aura rendu leurs affaires à tous ses camarades qu’il a volés. La partie course-poursuite est hyper rythmée, inventive. La partie rédemption plus convenue dans son déroulement, mais pourtant très émouvante, aussi bien en voyant les enfants heureux de retrouver leurs jouets, le chapardeur devenu le nouvel ami de tout le monde et la créature (à laquelle on s’était vite attaché) forcément volatilisée. Ça dure six minutes et c’est adorable.
Publié 18 janvier 2017
dans Brad Bird et Jules
Merveille d’acier.
7.5 Découvert cette merveille sur grand écran, accompagné de mon fiston qui a semble t-il été aussi très touché, par les aventures d’Hogarth et du robot géant. C’est passionnant, d’une intelligence folle et le dernier acte est de surcroît bouleversant. Bref, ça pourrait vite devenir l’un de mes dessins animés de chevet. Brad Bird = élégance incarnée! Vivement la sortie Blu-Ray que je vienne reparler du film…
Publié 9 septembre 2016
dans Chris Renaud, Jules et Yarrow Cheney
Congé domestique.
4.5 C’est mignon. Il y a du rythme. Je m’attendais à un truc un peu statique (Du style les animaux s’inventent une vie dans les maisons quand on est absent – Ce que promettait beaucoup l’affreuse bande-annonce) mais le film vadrouille partout dans NY, entre les égouts et les ruelles. Il y a des personnages très chouettes. La plupart des situations sont téléphonées mais les 90min passent en un claquement de doigts. Vu en salle avec mon fils qui était aux anges.
Publié 22 décembre 2015
dans Chel White et Jules
Jingle bells.
4.0 Vu au cinéma avec mon petit loup. Bon c’est ambiance Oui-Oui hein mais c’est mignon, mais c’est vraiment pour les petits, faut enfiler le bon costume. Après Vice Versa c’est un peu léger. Sinon au rayon des anecdotes, c’était samedi aprèm et ma salle était remplie ! Une moitié de petits (entre 3 et 5 ans grosso modo) et une moitié de parents. On se marchait dessus. Mon fils comme d’habitude s’est très peu manifesté, aussi bien pour parler que pour se plaindre, il était à fond dedans quoi. Un moment dans le film, il y a un type de la fourrière pas super sympa (mais qui finira par l’être, t’inquiète) et mon fiston s’est réfugié dans mes bras. Il en a eu peur mais c’est vite passé. Et plus rigolo, il y avait dans la salle un petit garçon de sa classe. Il la reconnue dans la file d’attente, il me tirait le blouson en me disant « Papa, papa c’est Y. » J’ai parlé avec la maman de Y. par contre Y. s’en tapait royal de mon fils, faisait comme s’il ne le connaissait pas. C’est cruel à cet âge. A part ça, les deux chiens du film se nomment Jingle et Bell. Voilà voilà.
Publié 7 novembre 2015
dans Collectif et Jules
Petits vents de liberté.
4.5 Petite séance de cinéma avec mon fiston. Je l’ai senti ravi, concerné et sage, je pense qu’on pourra très prochainement passer le stade du long-métrage. Les animaux farfelus est un programme de six petites histoires dans lesquelles les animaux sont à l’honneur : Des girafes s’élançant dans un concours de plongeons acrobatiques en pleine piscine olympique, deux poulpes dans un village grec souhaitant rejoindre la mer avant d’être cuisinés, un après-midi bien déviant à Versailles en 1700 où la basse-cour a remplacé la cour ou encore une histoire d’amitié entre un lapin et un cerf voulant contrarier les dimensions… Pour ne retenir que les plus intéressants. Girafes et poulpes sont deux programmes extrêmement courts, hyper rythmés, sans parole, dans la lignée de ce que peuvent offrir les fameux épisodes de Minuscule. Ce sont les deux épisodes préférés de mon fils, je crois. À la française est assez génial dans sa manière de jouer avec un burlesque de situation qui se répète à l’infini, avec ces poulets enchainant bourdes et maladresses, un peu à la manière d’un Tati. Le lapin et le cerf, court-métrage hongrois est le plus beau : Ils sont tous deux amis sur une feuille de dessin. Mais le cerf se fascine soudainement pour le volume (une histoire de rubik’s cub taquin) et parvient à découvrir la formule de la troisième dimension et devenir un animal en bois, laissant, à son grand désarroi, son ami le lapin sur sa feuille à jamais. Voilà, comme tout programme multiple, ça reste inégal (Les chats chantants & L’oiseau rare sont sans intérêt) mais c’était surtout réjouissant de voir ça avec mon petit loup.
Publié 11 février 2015
dans Jules et Zdenek Miler
Rebelle de la forêt.
6.0 J’avais oublié de parler de ce visionnage d’octobre, pourtant très marquant personnellement puisque ce fut ma première séance ciné avec mon fiston. Film d’animation tchèque, muet musical, de 40 minutes en cinq épisodes, sur les (mes)aventures d’une petite taupe espiègle et maladroite. C’est plutôt chouette.