Kiss the sky.
5.5 Autrefois, les cigognes livraient des bébés. Et puis elles se sont reconverties dans le transport de marchandises, beaucoup plus lucratif. Jusqu’à ce jour où suite à un enchaînement (mal)heureux la machine à bébés se remette en marche et produise à nouveau une petite fille. Il m’a fallu du temps pour y entrer. Et puis l’épisode des loups m’a fait mourir de rire. Et après ça j’étais dedans, Storks est un super produit Warner Bros, une vision moderne du mythe des cigognes, hyper bien rythmé, plutôt beau visuellement, drôle, humaniste, complexe aussi bien côté humain que cigognes, et qui se paie même le luxe d’être émouvant dans un final merveilleux. Rien d’étonnant à retrouver Nicholas Stoller (Sans Sarah rien ne va, Cinq ans de réflexion) à la réalisation, finalement tant j’ai repensé à l’ouverture d’esprit qu’on pouvait déjà trouvé dans Sausage party, écrit aussi par des rejetons d’Apatow : Ode aux couples et familles de tout genre.