Publié 18 avril 2018
dans Pascal Bonitzer
Rien du tout.
2.5 Comme chaque fois avec Bonitzer je m’y emmerde prodigieusement. Là en plus, j’ai vraiment l’impression de voir un cinéma de vieux ou de bobo (si je n’aime pas le terme, il faut bien dire qu’il colle parfaitement à ce film-là) qui tente l’absurde d’un Raoul Ruiz mais fait un peu de peine et se vautre dans une gauchiasse hédoniste pathétique, sans parler du rôle de nympho donné à Kiberlain à qui ça ne va pas du tout. Luchini est pas mal puisqu’il ne vampirise pas le film comme il le fera bientôt dès l’instant qu’il a le premier rôle. Mais bon, difficile de sauver quoi que ce soit d’autre de ce marasme en ce qui me concerne.
Publié 13 avril 2017
dans Pascal Bonitzer
3.0 Réussir à faire que « Banyan » et « Etalingure » soient les deux mots les plus utilisés du film était un audacieux pari. Sauf que je ne sauve que ça. Et les comédiens, mais je n’ai pas attendu les films de Bonitzer pour savoir qu’Isabelle Huppert, Lambert Wilson, Agathe Bonitzer, Vincent Lacoste, Jean-Pierre Bacri et Pascal Greggory étaient bons. Jolie brochette. Tout de suite maintenant me fait globalement le même effet que Cherchez Hortense et Le grand alibi : C’est soigné mais on s’en tape. D’autant que c’est souvent chiant, faussement satirique et puis les apparitions pseudo oniriques de chien loup sérieusement, gros frisson de la honte.